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EXPULSION DE PLATEFORMEJAUNE DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE INTER PROFESSIONNELLE DE MÉNILMONTANT 75020

Dernière mise à jour : 13 mars 2023

VOIRE CI-APRES LA DECLARATION DE NASSER TRAVAILLEUR DU 20° ET LE MAIL DE ISABELLE LA BUREAUCRATE EN CHEF DE LA PSEUDO ASSEMBLEE GENERALE ET ACCESSOIREMENT DICTATEUR EN HERBE APOLITIQUE ET CITOYENNE... SELON SES DIRES...


Cette triste affaire démontre à quel point il faut se méfier comme de la peste des étiquettes, du réformisme réactionnaire qui sait parfaitement depuis toujours saboter les luttes sociales sous faux drapeau, noir, rouge, rose… Il se trouve que l’un de nos camarades NASSER vie dans le 20 °: tout naturellement, nous avons choisi de participer à une initiative locale annonce qui se présente comme une "Assemblée générale interprofessionnelle." Lors d’une première réunion, les participants ont été invités à s’inscrire sur un groupe de discussion Whatsapp sans aucune information spécifique sur l’objet de la liste. Une des publications avait pour objet les lois de 45 sur la sécurité sociale, sur lequel on a naturellement fait un commentaire politique en expliquant qu’elles étaient déjà en projet sous le gouvernement fasciste de VICHY, et que l’un des concepteurs de cette loi, Pierre LAROQUE, était en charge de ce dossier au sein du pouvoir pétainiste.(voir l'article de CONTRETEMPS) Des publications de la NUPES ont fait également l’objet de critiques politiques, en rappelant un état de fait historique : les divers gouvernements de gauches qui se sont succédé depuis François Mitterrand, Jospin et jusqu’à Hollande, ont participé de façon active à la remise en question de tous les acquis sociaux depuis plus d’un siècle, jusqu’aux lois "travail" EL KHOMRI, dont Macron fût un des artisans.


On a alors subi tout de sortes de calomnies grotesques. Il parait que nous serions des « bourgeois »: on a fait remarquer à nos adversaires de la NUPES, que Mélenchon est un bourgeois millionnaire, qui a déclaré admirer Serge DASSAULT, et qui se revendique toujours de l’héritage politique de François Mitterrand. Lors d’une réunion improvisée du 10 mars, environ dix personnes qui se connaissaient évidemment, des militants sans doute issus de la nébuleuse réformiste, se sont présentés en annonçant d’emblée l’objet : WhatsApp, puis à notre demande la définition de l’organisation de l’assemblée générale. Nous avons proposé de créer une deuxième liste dédiée aux discussions politiques pour la déconnecter des actions. Nous avons proposé d’annoncer aux participants de cette liste des propositions pour mettre en place une charte. Avant même le vote bidon, l’administrateur a déclaré « je l’ai déjà viré »…Ils ont alors « voté » notre exclusion et nous ont demandé de quitter le local….Cela en dit long sur les méthodes de ces militants du réformisme réactionnaire… Bref, cette « assemblée » n’est évidemment pas générale de travailleurs : elle a pour objet de servir la soupe au réformisme réactionnaire. Ses méthodes sont un mélange des genres entre des pratiques sectaires et une hystérie d'anciens staliniens.

 

DECLARATION DE NASSER TRAVAILLEUR SOCIAL SECTEUR HANDICAPE

HABITANT PARIS 20°

 

Contre l’exclusion des militants révolutionnaires des réunions politiques ouvrières !

En date du vendredi 10 Mars dernier, à Paris 20e, s’est tenue une Assemblée générale interprofessionnelle, supposée discuter des diverses orientations à donner sur les actuelles luttes se déroulant autour de l’enjeu majeur des retraites. Théoriquement, en tant qu’A.G interprofessionnelle, ou ayant été supposée être telle, tout un chacun était convié à s’exprimer concernant les propositions en matière de perspectives et d’orientation (suivant une logique de « front ») vu que l’objectif fondamental voire numéro 01 est de faire capoter coûte que coûte ce projet néfaste, consistant à repousser l’âge de la retraite à 64 ans et au demeurant à allonger la durée de cotisation, autrement dit à concrétiser à faire passer notre droit à la retraite à la moulinette, alors qu’il était théoriquement basé sur la solidarité, notamment en fonctionnant par répartition et la cotisation, en vue par la suite de livrer ce droit social élémentaire (qui n’est pas une fin en soi pour nous) aux appétits du capitalisme et de la dictature du fric, lié au règne des maîtres capitalistes (véritables parasites) qui mettent en ligne de mire tout ce qu’il reste des « acquis » du soi-disant « État providence », au vu que le capitalisme est plus que jamais incompatible avec l’existence des filets de protection sociale. Ainsi, il peut être à supposer que tout un chacun devrait se prononcer librement, et ce non seulement comme dans la logique propre à un FRONT social et de terrain (ce qui signifie par définition la logique disant « Marcher séparément / Frapper ensemble ») et particulièrement à l’heure actuelle, qui plus est, en toute fraternité, comme il en est normalement de vigueur dans le mouvement ouvrier normalement.


Cependant, dans la pratique, voilà que tel n’a pas été le cas à cette « Assemblée générale » en question. Car au moment où des militants Gilets Jaunes et révolutionnaires, étant affiliés au réseau militant dénommé Plateformejaune (qui n’est pourtant ni un parti ni un mouvement ni même une organisation structurée tout court) ont voulu s’exprimer, avec leurs idées et leur droit (légitime) à les présenter, et justement ayant utilisé leur droit afin de montrer leur opposition, à la fois pacifiquement et par le débat démocratique, à une certaine orientation que l’A.G prenait, sous forme de l’idée (implicitement) dégagée de la supposée « neutralité » et du soi-disant « apolitisme » dans cette A.G [idée en vérité plus imposée qu’émise, puis ayant encore moins été débattue, et cerise sur le gâteau, passée en force rien que de par la volonté des organisateurs de cette A.G] surtout au vu qu’une certaine perspective est nécessaire, vu la taille de cet enjeu qui se lie à notre avenir, et au moins pour donner une orientation à la lutte, en vue de gagner. Il s’agit d’une liberté élémentaire, mais voilà que les organisateurs [dont certains se disent « révolutionnaires » et « anticapitalistes » et autre blabla] n’en ont pas été convaincus dans les faits, en ayant non seulement affirmé fermement leur volonté de refuser l’expression des idées politiques et révolutionnaires dans la liste de diffusion propre aux débats et aux organisations propres à cette A.G (tout ça parce qu’elles ne sont pas les leur, dans les faits), mais, par-dessus le marché, et cerise sur le gâteau …… Voilà qu’ils ont proposé que soit mise dans l’ordre du jour une question hors sujet, tel que le bannissement de la Plateformejaine et de l’expression de ses idées dans la liste de diffusion WhatsApp liée à cette A.G pour, au final ….


Carrément soumettre au vote ce bannissement, allant jusqu’à voter l’exclusion physique de la salle de ces militants révolutionnaires (affiliés à Plateformejaune) et ceci sans oublier le ton arrogant que certains des organisateurs ainsi que quelques militants liés à eux se sont permis d’employer, le tout accompagné du recours au chantage politique, à l’intimidation et ainsi de suite …. Le tout pour que le résultat soit qu’en dernier lieu, l’exclusion des révolutionnaires en question soit votée et ceux-ci chassés de la salle. Pacifiquement certes, mais pas moins réellement.


Eh bien face à une telle attitude, nous affirmons haut et fort que tout comme une certaine organisatrice, Isabelle, se situe dans une optique pratique digne du stalinisme et d’une attitude de bureaucrates, ce sont bel et bien des méthodes dignes de staliniens et bureaucrates dont il est question, avec la violence physique en moins, et cela doit être dénoncé comme tel ! Tout comme par principe, ces agissements doivent être proscrits dans la logique intrinsèque à la démocratie ouvrière, et a fortiori dans le combat pour en finir avec le capitalisme. Ainsi, par ici, c’est l’occasion qui se présente de constater les restes de la rouille stalinienne dans le mouvement ouvrier, celui-ci ayant beaucoup été sous influence du stalinisme et de ses dégâts, et y compris chez ceux qui parmi certains « révolutionnaires » de façade, ont des (pseudos) prétentions à refuser le stalinisme et se situant d’ailleurs chez certains des organisateurs et organisatrices.


Qui plus est, ce que ces « révolutionnaires » et anticapitalistes en parole et donc de pacotille, qui ont par excellence montrée leur préférence pour la substitution de la cervelle (devant notamment être utilisée pour le débat) au chantage débouchant sur le recours lâche à l’exclusion, ont « oublié », c’est qu’outre l’inefficacité voire l’inutilité de ces méthodes de censure (inutiles, car elles ne vont en rien empêcher l’expression des idées révolutionnaires, qui se présenteront d’une façon ou d’une autre), ces soi-disant « militants » (étant plus des obstacles à la lutte et aux avancées que des catalyseurs de celles-ci [et grâce à qui les maîtres capitalistes peuvent rigoler et dormir tranquilles]) non seulement ne nous ferons pas taire, mais qui plus est, ne nous intimiderons en aucune façon. De surcroît, leurs méthodes, si ce n’est pas eux-mêmes, seront dénoncées jusqu’au dernier par tous les moyens utile et nécessaire pour ce qu’elles sont, tout comme les révolutionnaires, par la démonstration de la justesse et la pertinence de leurs idées, vont contribuer tôt ou tard à isoler ces réformistes, de surcroît timides, et à les faire écarter.


Ainsi, pour commencer, nous appelons non seulement à protester chaque militant du mouvement ouvrier et social véritable et digne de ce nom à protester, aussi bien dès maintenant qu’autant que possible, contre ce genre d’attitudes, y compris contre les perspectives d’exclusions, et ce pour quiconque, sur la base que c’est la démocratie ouvrière et ses mécanismes qui doivent s’affirmer quoi qu’il arrive, et ce à propos de tout sujet relatif au mouvement ouvrier, avec pour seul instrument le débat et l’argumentation (cette absence de ces éléments capitaux démontre dans un sens leur faiblesse, tant théorique qu’argumentaire que pratique, en sus de leur manque de culture de démocratie ouvrière), mais de surcroît, nous appelons les militants qui connaissent les organisateurs de cette A.G, qui se sont comportés en véritables moines-soldats du capital dans le mouvement ouvrier (à moins qu’ils soient des réformistes timides) à s’en méfier, et ce à la fois d’eux-mêmes et de leur verbiage et bric-à-brac pseudoanticapitaliste, qui ne sème que la confusion et la paralysie, freinant et retardant ainsi la concrétisation de faire capoter ce projet pourri de casse des retraites, ainsi que la possibilité d’en finir avec ce système capitaliste pourri, pour le plus grand bonheur des maîtres capitalistes, qui ne manqueront pas de remercier ces réformistes timides pour les services ainsi rendus.


C’est aussi par cela qu’il est possible d’établir un test pour les militants agissant contre le capitalisme et ainsi distinguer les militants qui veulent réellement en finir avec lui et ceux qui le prétendent en parole, et étant dans les faits de véritables barrières, avec lesquelles ni les luttes ni la perspective ni encore moins la révolution ne connaîtront la victoire. Et ce test, même par la négative, confirme les affirmations que font les révolutionnaires depuis longtemps.


• Protestons contre ces attitudes nuisibles et néfastes dans le mouvement ouvrier !

• Le chantage, les exclusions et a fortiori les insultes et la violence doivent être proscrits et tués dans l’œuf !

• Démasquons ces pseudos révolutionnaires et pseudoanticapitalistes (qui sont plus des sociaux-démocrates qu’autre chose) et dénonçons publiquement leurs méthodes bureaucratiques et staliniennes ! Faute de quoi, cela pourrait empirer demain et semer les germes d’une répétition de monstruosités historiques !

• Pour contribuer vous aussi à faire avancer le travail et les perspectives révolutionnaires dans le mouvement ouvrier, diffusez la Plateformejaune sans plus attendre !


NASSER DU RESEAU PLATEFORMEJAUNE

WWW.PLATEFORMEJAUNE.COM


Mail plateformejaune@gmail.com



 

BILAN DES POLITIQUES ANTI-OUVRIERES DES GOUVERNEMENTS DE LA GAUCHE BOURGEOISE DEPUIS L'ERE MITTERAND... EDIFIANT...


 

SUR LE MYTHE AMBROISE CROISAT ET LES JOURS HEUREUX...DE LA COLLABORATION DE CLASSE!



Les fameux "acquis" n'ont été obtenu que par la trahison du PCF qui volant au secours de De Gaulle, a désamorcé une situation pré-révolutionnaire. Pour mémoire, à la fin de la guerre, le maquis PCF, armé jusqu'au dents et majoritairement pro-russe rêve de révolution, d'ou la nécessité pour la bourgeoisie de lui donner un os à ronger, d'autant que la reconstruction de la France, va exiger que le prolétariat crève...à la tâche, notamment dans la fameuse "bataille de la production". Ce qui explique l'arrivée sur la scène politique d'Ambroise Croizat et du PCF, qui dans le même temps applaudira au massacre colonial de 40.000 algériens à Sétif, suite à une manifestation pacifique. Les terribles conditions de travail subies par les ouvriers, vont ouvrir la porte à la gigantesque grève de 1947, ou cette pourriture de Thorez, traîte à la classe ouvrière devant l'Eternel..., chef du parti d'Ambroise, va insulter les grévistes de "complices du nazisme", avant de lancer cette célèbre formule "la grève, c'est l'arme des trusts".


D'autre part, il est bien évident qu'une fin de guerre offre devant l'étendue des destructions, l'opportunité de réaliser de merveilleuses affaires, régénérer un capitalisme alors englué dans une crise.... sans fin - d'ou la nécessité de la guerre - ce qui autorise la bourgeoisie à lâcher du lest. Autant dire que la situation actuelle et son absence de débouchés pour les capitaux ne prête pas à de pareilles largesses... Serons nous les éternels futurs énièmes cocus de misérables "gouvernements de gauche" qui ont préparé et organisés dans le passé récents toutes les saloperies anti sociales?

 

EXCELLENT DOSSIER DE LA REVUE CONTRETEMPS SUR LA QUESTION DE LA SECURITE SOCIALE



Extrait saisissant "a Sécu de 45 : « compromis historique » et rôle du PCF

La Sécu de 45 fut le résultat contradictoire de l’énorme mobilisation sociale issue de la fin de la guerre et de sa canalisation vers le retour à l’ordre par les directions du PCF et de la CGT. Parlant de la reprise en main du régime général par l’ « État social » N. Da Silva écrit :

« il faut réduire l’influence ouvrière, qui a la désagréable caractéristique d’être souvent communiste. Pour reprendre la formule de Gramsci, il faut apprivoiser le gorille, c’est-à-dire mater la rébellion des classes populaires pour qu’elles acceptent la marche en avant du capitalisme et renoncent à changer la vie » (p. 159).

La remarque est juste, mais elle omet de préciser que, dans un premier temps, de 1945 à 1947 ce fut la direction du PCF elle-même qui remplit avec succès la mission « d’apprivoiser le gorille », ce qu’elle était la seule à pouvoir faire à ce moment. Elle mit tout son poids et tout son crédit politique en jeu pour liquider les structures d’auto-organisation issues de la Résistance et s’opposer aux grèves (décrétées « arme des trusts »). Elle permit ainsi à la bourgeoisie de reprendre la main. Celle-ci estima alors qu’elle pouvait se passer des services des ministres du PCF, et resserrer son contrôle sur la Sécurité sociale, en marginalisant la CGT.

À la fin de la guerre, les attentes sociales et la mobilisation populaire ouvrent la possibilité d’une transformation radicale de la société. Face à l’ancienne administration pétainiste se créent sur tout le territoire des « comités locaux de libération ». Ces comités sont des structures populaires d’auto-organisation, ils s’appuient sur les forces armées issues de la Résistance, les « gardes civiques ». Dans ces structures, le PCF a un rôle déterminant.

À partir de 1945, loin de développer et de coordonner cette auto-organisation, la direction du parti va s’appliquer à la démanteler. « Un seul État, une seule armée, une seule police » sera le mot d’ordre de Maurice Thorez, devenu ministre. Malgré beaucoup de réticences dans et hors du PCF, les structures d’auto-organisation sont dissoutes, les armes rendues (ou cachées), les résistants doivent intégrer l’armée et de la police gaulliste.

La création de la Sécurité sociale, et sa gestion par la CGT, fut donc à la fois le résultat de l’extraordinaire mobilisation sociale au sortir de la guerre et la contrepartie du « compromis historique » passé par le PCF pour « apprivoiser le gorille ». Elle fut le résultat paradoxal, de la destruction de l’auto-organisation dans l’ensemble de la société. La comparaison avec la Commune de Paris qui tenta, elle, de construire un nouveau pouvoir sur la base de l’auto-organisation et du « peuple en armes » semble dès lors hasardeuse.

Dans la discussion sur cette période, un autre aspect doit être débattu. N. Da Silva présente, tout au long de l’ouvrage la Sécurité sociale de 1945, comme une institution des travailleurs « auto-organisés ». La classe ouvrière y serait « au pouvoir ». Le fait que des militant-es issu-es de la classe ouvrière siègent dans les instances de la Sécurité sociale, ne suffit pourtant pas pour affirmer que la classe ouvrière y exerce effectivement le pouvoir. Ces formules éludent la question clé des rapports entre représentants et représentés, au sein même du mouvement social et ouvrier et dans leurs propres institutions.

L’auto-organisation ne peut se réduire à l’existence d’élections. Elle implique la possibilité réelle de participer aux décisions importantes, de vérifier leur application, de contrôler le respect par les élu-es de leur mandat et de les révoquer s’ils ne les respectent pas. Autant de questions qu’avait posé la Commune et qui ne furent pas abordées en 1945 par une CGT fortement marquée par le stalinisme où elles étaient taboues.

Poser ces questions aujourd’hui ne relève pas d’un débat d’historiens : elles sont déterminantes, pour qui souhaite, comme l’auteur, remettre à l’ordre du jour le combat une protection sociale « auto-organisée ». La défiance et la désaffection dont sont victimes les organisations ouvrières, partis ou syndicats, leur poids beaucoup plus faible dans les mobilisations sociales qu’en 1945, l’existence de mouvement sociaux passant totalement à coté du mouvement ouvrier et social traditionnel (gilets jaunes…), ne permettent pas d’avancer un projet de Sécurité sociale « auto-organisée » en seule référence au « modèle 45 ». Il est nécessaire redéfinir le contenu de « l’auto organisation » et les garanties démocratiques qu’elle implique."


 





MAIL DE LA PITOYABLE ORGANISATRICE DE LA PSEUDO AG INTERPRO

izabe@riseup.netven. 10 mars 23:26 (il y a 2 jours) À retraites

Salut, Quelques notes sur l'AG du 10 mars. 1. Fonctionnement whatsapp Rappel que la liste est avant tout un outil d'organisation et pas un lieu de discussion politique. Il a été proposé que Plateforme jaune soit retiré de la liste Whatsapp. Suite à son absence de compréhension, il lui a été proposé de rester sur la liste sans intervenir. Devant son refus, il a été retiré de la liste. Suite à des discussions compliquées, nous avons aussi voté son exclusion de l'AG. 2. Bilan de la semaine - Déambulation aux flambeaux, vendredi 3 mars : 70 à 100 personnes présentes, dont deux équipes de colleurs et colleuses. Vente de flambeaux à 2 euros, il reste 18,27 euros Ce qui serait motivant : coller en amont sur les prochains parcours. Avoir une seule affiche serait plus simple. Pendant la déambulation, préparer en amont nos prises de parole, slogans pour que les gens puissent savoir qui nous sommes et ce pour quoi nous sommes là. - Manif du mardi 7 mars : Pas mal de grévistes. 200 000 personnes de plus ce qui montre qu'il y a des possibilités de mobilisation. Question des départs à plusieurs collectifs compliqué (pas de convergence avec La Cantine, le collectif de la place des fêtes, l'hôpital Tenon), de plus l'Educ a des AG le matin à la Bourse du Travail de Répu et c'est compliqué pour elles et eux de remonter faire un départ Interpro 20 à Père-Lachaise. Question de la place de la banderole dans les cortèges de manif. L'idéal serait d'être dans un cortège d'Interpro, en coordination. Mercredi 8 Grève féministe. Étrangement moins de monde que l'année dernière alors que nous sommes en plein mouvement social ? Demain AG féministe à 10h30 au CICP. Beaucoup d'actions de blocage cette semaine (raffineries, coupures d'électricité au Stade de France), L'intersyndicale et ag les matins de manif Appel de la Desco (agents de la Ville de Paris) à débrayer pendant certains temps du midi. Les étudiantEs se réunissent une fois par semaine, mais cette semaine, suite à des occupations, la présidence a décidé de faire passer les cours en distanciel ce qui qui empêche les mobilisations sur lieux. Analyse : pas un secteur en tête comme en 2019. Intervention de deux personnes de l'association de Belleville en vrai autour de la place des jeunes dans le quartier et éventuellement dans le mouvement. Permanences les mardis et jeudis de 19h à 22h 3. Perspectives Divers propositions : - Tracter et discuter sur les lieux de travail (hôpitaux, Monoprix). - Tenir des rdv informels autour d'une table pour discuter avec les gens - Pourquoi les gens ne font pas grève ? Argent ? Résignation ? Il a été décidé qu'on ferait une action par semaine. Question : comment construire, élargir la grève. Rencontrer des gens qui pourraient nous rejoindre. Pour cela, aller sur les piquets de grève (Lagny), rejoindre les lycées en soutien (comme pour Hélène Boucher et Ravel) et se retrouver en AG avant de se retrouver en manif. - Faire un PAD d'organisation avec le calendrier https://mensuel.framapad.org/p/interpro20-9zra?lang=fr 4. RDV Samedi 11 mars à 13h : départ collectif en manif au métro Père-Lachaise. Jeudi 16 mars à 18h : Déambulation (parcours en cours de préparation) A bientôt,


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