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  • Photo du rédacteurPLATEFORMEJAUNE

NON A LA MARCHANDISATION DE LA PROCREATION ET LA DICTATURE TECHNO TOTALITAIRE DU CAPITAL

Dernière mise à jour : 28 févr. 2023




L'affiche du planning familial provoque une polémique et une opposition de personnalités du combat féministe et on les comprends. Ce type de communication dont l’objectif défendu parait louable, la tolérance à l’égard des minorités sexuelles contre les attaques dont ils pourraient faire l’objet. Au prétexte d’accueillir des personnes transgenres dans les services du planning familial, chose louable, on a des campagnes orchestrées au plus haut niveau, relayées par les associations subventionnées par l’État, par l’éducation nationale, dans le but inavoué de nier l’altérité sexuelle, et nier le déterminant du sexe sur le genre. Ce qui est en totale opposition à la nature sexuée de l’espèce humaine. Cette campagne n’est pas un pur délire idéologique sectaire, il a pour origine des intérêts industriels et capitalistes. Ils visent à créer un nouveau marché qui fait de nos corps un nouvel objet de consommation et de profits. Et pour les lobbys de la pharmacie, de l’agroalimentaire, des nouvelles technologies de la chimie, veut faire du profit au prix de la mutation de nos corps qui passent par le changement illusoire de sexe. Toutes ces organisations para étatiques cherchent à habituer les jeunes générations aux délires et inepties de la fraction la plus déjantée du capital. Les mêmes veulent généraliser la GPA et pourquoi pas organiser la production en chaine de nouveau-née dans des utérus artificiels, dans l’attente de la transplantation de nos consciences dans un cloud… C’est projet techno totalitaire digne d’un régime néonazi, même Hitler n’y avait pas pensé…l’argument de ces fous furieux, l’autodétermination appliquée à notre biologie est une foutaise : on change jamais de sexe. Une femme à qui on enlève l’utérus reste une femme sans pouvoir procréer et elle ne pourra jamais produire des spermatozoïdes. Et un homme qui subit une ablation des testicules ne pourra jamais produire des ovocytes. Par contre ce qui est évident, les personnes qui ont changé de sexe perdent l’autonomie pour avoir des enfants aux dépens de BIG PHARMA qui va mettre tout en œuvre pour leur offrir des enfants sur catalogue …. S'opposer à cette folie ce n'est évidemment pas être "d'extreme droite" où être un réactionnaire attachée à la petite production marchande sous le règne du féodalisme. La bourgeoisie de "gauche" est parfaitement capable de faire passer des saloperies diverses et variées sous couvert de la tarte à la crème du progressisme et de la défense légitime de minorités sexuelles où autres. NOUS NE LAISSONS PAS DUPER PAR "BIG PHARMA". Le planning familial ne pourra pas compter sur le soutien du mouvement anarchiste et communiste révolutionnaire autonome. Nous les appelons à contester le projet qui découle de cette propagande.


LE CAPITALISME VEUT TUER CLAIREMENT L'HUMANITE A DEFAUT DE PROVOQUER UNE EVENTUELLE APOCALYPSE NUCLEAIRE ET/OU ECOLOGIQUE!





Se poser des questions sur les implications de la science appliquée à la vie ne fait pas de vous un amateur du troisième reich ou du fascisme...ni un réactionnaire attachée à la petite production marchande artisanale féodale du moyen âge!


L’utérus artificiel

Des bébés qui viendraient au monde sans passer un seul instant dans le ventre de leur mère : fable futuriste ou réalité scientifique ? Parce qu’ils parviennent à sauver des prématurés de plus en plus jeunes, des chercheurs envisagent la possibilité de combler toujours plus les besoins des bébés en dehors du ventre de leur mère, jusqu’à pratiquer l’ectogenèse. Ce procédé, déjà pratiqué sur certaines espèces animales (par exemple les chèvres), consiste à faire se développer un bébé, depuis sa conception jusqu’à sa naissance, dans un utérus artificiel ressemblant à une sorte d’incubateur. Fécondation in vitro, liquide amniotique de synthèse, placenta artificiel et, neuf mois plus tard, un enfant naîtrait… Mais comment anticiper les répercussions sur son évolution ? Comment reproduire les connections entre l’enfant et sa mère ?

Alertez les bébés ? En tentant de mesurer les enjeux scientifiques, éthiques et psychologiques de cette (r)évolution, Marie Mandy revient sur les fondements de la maternité, ses mythes et ses phantasmes et part à la rencontre des médecins et biologistes en France, en Belgique, au Japon et aux États-Unis, qui expérimentent de nouvelles techniques de gestation extra utero. S’il s’agit d’avancées considérables en matière de procréation (sauver les prématurés, aider les femmes sans utérus…), cela soulève beaucoup de questions d’ordre bioéthique : qui seront les parents ? Qui pourrait y avoir recours ? Une histoire qui interroge la valeur de la vie et le pouvoir de la science.

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